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Publié le par Ministère A Coeur Ouvert

Le véritable registre des roches

Souvent les médias vont nous parler de découvertes d’anciens artefacts. Il peut s’agir de fossiles datant de millions d’années, et même de centaines de millions d’années. Habituellement, ces annonces sont accompagnées par des représentations colorées de la créature telle qu’elle "apparaissait" il y a de cela des millions d’années.

Comment les scientifiques, les journalistes et les reporters en arrivent-ils à développer des portraits si élaborés ? Ils sont certainement basés sur une montagne de preuves et de recherches qui ont été contre-vérifiées avec les découvertes précédentes. N’en soyez pas si sûr ! Rendu à ce point, vous avez peut-être commencé à développer un certain cynisme à l’égard de la science moderne. Si c’est le cas, vous ne serez pas surpris que les "faits" utilisés pour prouver et dessiner ces "anciennes" créatures ne sont que des morceaux d’os, une mauvaise science et des présomptions douteuses.

Malgré tout l’éclat et la splendeur qui accompagnent ces découvertes, la science qui se cache derrière de telles découvertes est plus artistique et créative que factuelle et scientifique.

Afin de mieux comprendre pourquoi les évolutionnistes sont devenus si créatifs avec le registre fossile, vous devez d’abord comprendre les "brèches" dans ce registre. Ce qui devait se révéler le ciment qui lierait ensemble tous les aspects de l’évolution, a commencé à la mettre en pièces.

Les deux problèmes principaux avec le registre fossile, quand il est utilisé avec l’évolution, sont reliés entre eux. Le premier concerne les trous qu’on y retrouve. Ce registre est divisé en ères - ou strates. Chacune de ces ères contient un certain type de créatures qu’on croit propres à une époque. À titre d’exemple, le Cambrien est placé à environ 530 millions d’années (selon les méthodes de datation des évolutionnistes).

Le problème consiste dans le fait que des créatures complètement formées apparaissent, tout à coup. L’ère cambrienne, par exemple, contient les vertébrés les plus vieux connus. Mais, comme l’écrit l’évolutionniste Richard Dawkins de l’université d’Oxford, "Nous en trouvons plusieurs qui sont déjà dans une forme avancée de l’évolution, la toute première fois qu’ils apparaissent. C’est comme s’ils avaient tout simplement été plantés là, sans aucune histoire évolutive" (The Blind Watchmaker, p. 229).

Vraiment, "tout simplement plantés là" ? - ou exprimé autrement, ils ont été créés ! Le registre fossile ne montre pas la formation de quelque créature que ce soit, elles semblent toutes avoir "été plantées là". Toutefois, cela n’est que le premier problème que rencontrent les évolutionnistes.

Le second est relié au premier. Parce que plusieurs créatures apparaissent soudainement, le registre ne nous montre pas des créatures qui ont évolué progressivement. Si la théorie de l’évolution est correcte, on devrait avoir de nombreux exemples de créatures simples qui évoluent tranquillement vers des formes plus avancées.

Ce n’est tout simplement pas le cas !

Le Dr Gaylord Simpson, évolutionniste et paléontologiste de réputation mondiale, a déclaré ouvertement, "L’absence constante de formes transitionnelles n’est pas limitée aux mammifères, mais est un phénomène quasi universel, comme cela a été noté depuis longtemps par les paléontologistes. Cela est vrai pour presque tous les ordres et les classes d’animaux … Et cela semble aussi vrai des catégories analogues de plantes" (Tempo and Mode in Evolution, p. 105).

Il y a seulement 5 ans, le Dr Simpson a été forcé d’admettre : "Il est donc possible de dire que de telles transitions ne sont pas constatées parce qu’elles n’existent pas" (The Meaning of Evolution, p. 231).

Certains pourront tenter d’affirmer qu’elles n’existent pas encore, disant que ces formes transitionnelles seront hypothétiquement découvertes. On peut répondre à cela par l’analogie suivante. Imaginez que vous avez un pot rempli de billes. Tranquillement, une à une, vous retirez chaque bille, en vérifiant sa couleur et sa texture. Tout d’abord, on pourrait s’attendre à ce que des billes différentes soient retirées du pot. Mais si après avoir retiré la grande majorité des billes, nous n’en avons trouvé que des rouges, une conclusion logique serait qu’il ne reste que des billes rouges dans le pot. Bien sûr, une nouvelle couleur pourrait être tirée du pot, mais il est plus que probable que ayez déjà retiré toutes les billes de couleur différente.

Voilà l’état du registre fossile. Plus d’un siècle de découvertes nous a montré qu’il ne restait que des "billes rouges". Il n’y aura pas de fossile magique qui changera cela. Cela n’a pas empêché certains scientifiques d’essayer de créer des "fossiles magiques" à partir de fragments d’os.

Une de ces "découvertes" vaut la peine d’être racontée. Elle avait reçu une couverture télévisée et avait fait l’objet d’un article du National Geographic. Les scientifiques croyaient avoir trouvé une "baleine marchante". C’était supposé être le chaînon manquant entre les mammifères terrestres et les baleines. Cette découverte étonnante avait poussé le paléontologiste Daryl Domning à déclarer, "Nous avons essentiellement chacune des étapes à partir des animaux terrestres jusqu’à ceux pleinement aquatiques". Une telle affirmation aurait certainement l’effet d’une vague de fond dans les sciences de l’évolution.

Le mois suivant, dans le numéro du National Geographic de novembre 2001, des images impressionnantes de cette "baleine marchante" apparurent dans l’article intitulé "L’évolution des baleines". C’était maintenant réglé, le chemin évolutif des baleines avait été établi, et la théorie avait été prouvée.

Était-ce le cas ?

Toute l’effervescence avait été causée par la découverte d’une mâchoire et d’un fragment du crâne. Et rien d’autre! À partir simplement d’un os de l’oreille et de dents, des images spectaculaires furent présentées dans le National Geographic. On pourrait comparer cela à la découverte d’une pièce de métal à partir de laquelle on pourrait reconstruire une réplique exacte de l’édifice d’où elle provient. Cela dépasse le ridicule !

Plus tard, le squelette de la même créature fut découvert. Une fois les faits établis, il était évident que cette créature ne pouvait pas nager. Il s’agissait d’un animal terrestre. Bien entendu, on ne publia pas de correction.

Ce n’est pas le seul exemple de données mal utilisées afin de s’ajuster à la théorie de l’évolution. Le grand nombre de déformations a entraîné des déclarations comme celle-ci : "Ce que le ‘registre’ montre, c’est un siècle de faux-fuyants et de resquille par des scientifiques qui cherchent à forcer des morceaux d’os et des fragments fossilisés à se conformer aux notions de Darwin, sans succès. Aujourd’hui, des millions de fossiles sont un rappel constant et pleinement visible de l’insignifiance des arguments et de la pauvreté de la théorie qui marche sous la bannière de l’évolution" (Jeremy Rifkin, Algeny, p. 125).

Donc, l’étape suivante de la part des évolutionnistes serait d’admettre leur erreur et de retirer cette mauvaise théorie, non ? Loin de là ! Au lieu d’admettre leur erreur sur l’évolution graduelle, les scientifiques ont proposé une idée encore plus ridicule : L’équilibre ponctué.

Cette théorie dont le nom transpire la complexité, a gagné quelque crédibilité parmi la communauté évolutionniste. Elle déclare que les catastrophes expliquent les sauts soudains de l’évolution. Ces événements causeraient des "mutations systémiques" soudaines et radicales. Ce dont la théorie ne parle pas, c’est la dévastation causée chez l’organisme par de telles mutations. De plus, comme mentionnés plus haut, ces événements ne fourniraient pas la nouvelle information nécessaire pour l’augmentation de la complexité.

Le concept de l’équilibre ponctué a aussi été appelé la théorie du "monstre prometteur". Dire que quelque chose de complexe puisse apparaître - sans être détruit - suite à des éruptions volcaniques monstrueuses ou à l’impact d’astéroïdes semble en effet une "promesse" très optimiste.

Finalement, la déclaration du généticien Theodosius Dobzhansky sur le monstre prometteur est la sentence de mort de cette notion fantaisiste : " … Ces théories ne font plus ou moins que donner des noms fantaisistes à des phénomènes imaginaires; personne n’a jamais observé de "mutation systémique" par exemple" (Plant Life).

Ceci est aussi corroboré par les écrits de deux évolutionnistes : "L’existence de mutations systémiques, aboutissant à des monstres prometteurs, peut être exclue compte tenu de la connaissance génétique actuelle" (Stebbins and Ayala, "Is a New Evolutionary Synthesis Necessary ?", Science).

Alors, comment les évolutionnistes expliquent-ils le fait que ni l’évolution graduelle, ni l’équilibre ponctué ne soient en accord avec le registre fossile ? Et comment expliquent-ils l’explosion soudaine de la vie ?

Ils ne l’expliquent pas, car ils ne peuvent le faire.

De telles preuves sont la raison pour laquelle le géologue William Dawson a écrit, "Le registre des roches est décidément contre les évolutionnistes" (Bowden, The Rise of the Evolution Fraud, pp. 216-218).

Comme vous pouvez le voir, la géologie ne constitue pas un champ de la science où les évolutionnistes peuvent trouver refuge et espérer réparer leur théorie chancelante.

Le dilemme de la datation

Un des problèmes les plus remarquables avec le registre fossile est relié à la manière dont les fossiles sont datés. Comme avec plusieurs "sciences" reliées à l’évolution, on y utilise largement les généralisations et les hypothèses. Typiquement, les archéologues vont utiliser deux genres de méthodes de datation, le radiocarbone et la datation associative.

La première, et la plus connue, est appelée la datation par le carbone radioactif. Cette méthode mesure le ratio entre le carbone ordinaire (12C) et le carbone radioactif (14C) afin de déterminer l’âge de l’objet.

Les scientifiques ont découvert que lorsque les rayons cosmiques entrent dans l’atmosphère ils réagissent avec l’azote-14 et forment du carbone-14. Ensuite, le carbone 14 réagit avec l’oxygène et produit du CO2. Les plantes absorbent le CO2. Ensuite, les animaux mangent les plantes, ce qui leur permet d’absorber également du CO2. Lorsque les plantes et les animaux meurent, leur décomposition produit de l’azote 14. Puis le cycle continue.

À titre d’exemple, vous pourriez prendre un échantillon de bois pétrifié. Lorsqu’il vivait, le bois aurait eu un ratio 14C /12C semblable à celui l’air environnant. Toutefois, lorsqu’il mourut, la décomposition aurait relâché lentement du 14C dans l’air à un taux connu alors que le 12C demeurait constant.

Si le scientifique connaissait le ratio C-14/C-12 dans l’air et le taux avec lequel le C-14 était relâché de l’échantillon, il peut théoriquement calculer son âge. Les scientifiques ont présumé que le ratio de ces isotopes dans l’atmosphère est toujours demeuré constant. Toutefois, il y a un problème majeur avec cela, ce n’est pas vrai !

Notez : "Alors, non seulement le comportement en système ouvert de ces isotopes a-t-il été démontré, mais les "isochrones" apparents et les "âges" qui en découlent sont invariablement sans signification géologique. Ainsi, aucune des suppositions utilisées pour interpréter les systèmes radiométriques U - Th – Pb pour déterminer les ‘âges’ ne peut être valide". (A.A. Snelling, U-Th-Pb ‘Datin’ : An example of False ‘Isochrons’,” Third International Conference on Creationism).

Peu importe la force avec laquelle on essaie d’expliquer ou de justifier les variations de ces isotopes, les variations demeurent. C’est la raison pour laquelle les scientifiques comparent leurs découvertes avec des items qui ont déjà été datés. Cela leur permet de déclarer que leur datation par radiocarbone est raisonnable par rapport aux autres découvertes.

Cela soulève un problème, car les autres items ont aussi été datés à l’aide du radiocarbone! Si on se rappelle les sophismes étudiés, ceci est un exemple parfait de ce qu’on a décrit par éluder la question. Fonder une conclusion sur une hypothèse n’est pas seulement "non scientifique", c’est malhonnête !

Pendant le dernier siècle, les scientifiques ont utilisé leurs analyses de radiocarbone afin de créer un tableau variable avec lequel on peut comparer les autres découvertes. Lorsqu’un nouveau fossile est découvert, il est comparé aux autres fossiles existants à cette profondeur dans le sol - appelée strate. On a présumé que les millénaires ont compressé chaque couche et que tous les fossiles trouvés à une profondeur donnée ont le même âge. Si la datation par le radiocarbone montre une date similaire, alors la date de l’échantillon est acceptée comme un fait.

Pouvez-vous voir comment une telle méthode permet aux échantillons d’être placés à l’intérieur d’un très large écart ? Plus encore, les petits échantillons peuvent être contaminés par leur environnement. Et encore mieux, on a aussi montré que différentes parties de gros échantillons montraient des variations de plusieurs centaines de milliers d’années.

On pourrait en dire encore davantage sur ces méthodes de datation. Mais comme vous pouvez le voir, elles sont moins que fiables. En fait, il est incompréhensible qu’elles soient même utilisées.

De source sûre

On a dit que les évolutionnistes n’ont pas besoin d’ennemis, ils se suffisent à eux-mêmes. Ce sont les désaccords profonds entre les scientifiques des différentes branches de l’évolution qui fournissent un grand nombre des preuves utilisées par ceux qui contestent la théorie.

En fait, voir les évolutionnistes remettre en question l’évolution est quelque chose de plus éloquent qu’on ne pourrait le penser. Imaginez par exemple qu’une trouvaille archéologique révèle que les apôtres du premier siècle exprimaient des doutes quant aux miracles et aux événements qui prouvaient que Jésus-Christ était effectivement Dieu incarné. Une telle découverte ébranlerait les fondements du Christianisme, car ces "experts" - - les apôtres - détenaient beaucoup d’autorité.

Pourquoi les déclarations des experts de l’évolution devraient-elles être considérées d’une façon différente? Elles indiquent une brèche de plus en plus large et profonde dans la théorie - une que les adeptes de l’évolution ne sont plus capables de colmater.

Bien que nous ayons déjà prouvé l’inexactitude du concept de l’évolution, certaines citations ne vous laisseront aucun doute quant à sa fausseté. La Bible dit : "Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos" (Prov 25.11). Elle dit aussi : "Si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister" (Mc 3.25).

Laissez le soin aux paroles et suppositions des évolutionnistes clorent le débat de l’évolution par elles-mêmes. Avec quelques preuves, cela suffira pour illustrer la division de leur maison et l’impossibilité qu’elle puisse survivre.

"La théorie de l’évolution ne fournit aucune réponse à l’important problème des origines de la vie et ne présente que de fausses solutions aux problèmes de la nature évolutive des transformations … Nous sommes condamnés à croire à l’évolution … Peut-être sommes-nous aujourd’hui dans une situation pire qu’en 1850 parce que nous avons cherché pendant un siècle et que nous avons l’impression que les différentes hypothèses sont maintenant épuisées". (Jean Rostand, évolutionniste français).

Bien que nous ayons couvert plusieurs hypothèses, il y en a d’autres qui permettent de bien comprendre les faiblesses de l’évolution. Elles sont tellement fortes et dérangeantes que G.A. Kerkut, évolutionniste et zoologiste de l’université de Southampton (Angleterre) a écrit la conclusion suivante à son livre intitulé Implications of Evolution (rappelez-vous que le mot biogenèse de cette citation fait référence à "l’origine (genèse) de la vie (bio)", et non à la Loi de la biogenèse dont nous avons parlée plus haut) : "La première hypothèse fut que le non-vivant avait donné naissance à du vivant. Cela demeure toujours une hypothèse … Il y a toutefois très peu de preuves en faveur de la biogenèse et jusqu’à maintenant, nous n’avons aucune indication qu’elle soit possible … il s’agit donc d’un acte de foi de la part des biologistes que de croire en la réalisation de la biogenèse …

La deuxième hypothèse était que la biogenèse ne se soit produite qu’une seule fois. Là aussi, il s’agit d’une question de foi …

La troisième hypothèse était que les virus, les bactéries, les protozoaires et les animaux supérieurs étaient tous parents … Nous n’avons, à ce jour, aucune preuve concrète sur la façon dont les virus, les bactéries et les protozoaires sont liés.

La quatrième hypothèse était que les protozoaires ont donné naissance aux métazoaires. Ici non plus nous n’avons rien de concret …

La cinquième hypothèse était que les différentes familles d’invertébrés étaient apparentées… La preuve des affinités entre la majorité des invertébrés est mince et circonstancielle, pas du genre à nous permettre de prononcer un verdict définitif favorisant une parenté.

La sixième hypothèse est que les invertébrés ont donné naissance aux vertébrés … Comme Bernill le déclare, ‘dans un sens, cela constitue de la science-fiction’.

Nous sommes par contre en terrain plus solide avec la septième hypothèse qui veut que les poissons, les amphibiens, les reptiles, les oiseaux et les mammifères sont apparentés. Il existe des preuves fossiles qui nous aident ici, bien que les transitions clés ne soient pas encore bien documentées et que nous ayons encore à obtenir une méthode objective pour dater les fossiles … La preuve que nous avons à ce jour est insuffisante pour nous permettre de décider quelles réponses donner à ces problèmes".

Le prix Nobel James Watson a déclaré : "Contrairement à la conception populaire soutenue par les journaux et les mères des scientifiques, bon nombre de ces derniers n’ont pas seulement l’esprit étroit et terne, mais sont aussi simplement stupides" (The Double Helix).

Un des éditeurs de la revue Science a dit un jour, "Un des traits les plus étonnants des scientifiques est que certains d’entre eux ne sont que de simples bigots vieux jeu. Leur zèle possède un certain mépris et une certaine intolérance fanatique et égocentrique pour quiconque ou quelque valeur qui n’est pas associée à un domaine particulier d’activité intellectuelle" (Phillip Abelson, "Bigotry in Science").

Quelle intolérance fanatique et égocentrique !

Sans réponse ni preuve et totalement fausse

Jusqu’à maintenant, nous avons vu plusieurs suppositions, mythes et faussetés en ce qui concerne l’évolution. On a déjà dit qu’il est beaucoup plus difficile de désapprendre l’erreur que d’apprendre la vérité. Vous devriez pouvoir réfuter aisément les énoncés malhonnêtes faits par les évolutionnistes. Et vous devriez pouvoir voir au-delà des sophismes qu’ils utilisent. La théorie de l’évolution peut maintenant être vue pour ce qu’elle est vraiment, quelque chose de ridicule et d’absurde.

Le design complexe que nous laissent entrevoir les sciences biologiques est la raison pour laquelle le lauréat et codécouvreur de la structure de l’ADN, Francis Crick, se sentait obligé de rappeler à ses collègues évolutionnistes que "les biologistes doivent constamment garder présent à l’esprit que ce qu’ils voient n’a pas été conçu, mais a plutôt évolué".

Mais nous venons de voir que les choses n’ont pas évolué ! La science va-t-elle continuer à essayer de prouver aveuglément cette théorie impossible ? Si oui, alors elle est vouée à l’échec tel que l’affirme le prix Nobel Robert A. Millikan : "Ce qui est pathétique, est que nous sommes en face de scientifiques qui essaient de prouver l’évolution, alors que c’est impossible" (Bowden, The Rise of the Evolution Fraud).

Vous n’aurez plus à faire face à des arguments douteux qui brouilleront votre jugement sur le sujet. Chaque supposition a été analysée, point par point. Au début de cette publication, on a dit que vous vous apprêtiez à lire quelque chose de différent de tout ce que vous aviez lu auparavant. Maintenant que les ruines de l’évolution sont derrière vous, il serait important que vous voyiez pourquoi on vous a dit cela.

Mais vous débarrasser de cette théorie ridicule n’est que le commencement. La Bible déclare : "En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisqu’ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces, mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous, et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en … Oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles … Eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur" (Rom 1.20-23 - 25).

Les évolutionnistes ont corrompu la vérité des origines de la vie. Même en face des faits, ils les ignorent - mettant constamment de l’avant l’idée que ce "qu’ils voient n’a pas été conçu mais a plutôt évolué". À cause de leurs actes, Dieu a caché à leur esprit les vraies origines de la vie.

Mais vous pouvez connaître ces choses que tant de personnes n’ont jamais vues

Vous venez de désapprendre un grand nombre de faux concepts. Vous avez en quelque sorte fait peau neuve, lavé la vaisselle sale - vous êtes maintenant prêt à examiner quelques-unes des preuves des vraies origines de la vie. Grâce aux articles de ces prochaines semaines, vous serez en mesure de voir "comme à l’oeil … Dans ses ouvrages" la Source de l’univers et de toute vie.

Il vous est possible de comprendre ce que tant de gens "instruits" ont choisi d’ignorer. (Fin de la première partie).

Partie 2

Accidentel ou voulu ?

Pour cette 'Partie deux', au fil des semaines, une série d’articles traitant du microscopique jusqu’à l’intergalactique, ils constituent quatre grandes preuves de l’existence d’un Concepteur - d’un Créateur. Les preuves que nous allons vous présenter vous permettront de voir certains aspects de la création d’une façon différente de ce que vous avez pu voir jusqu’à maintenant. Nous ferons comme nous l’avons fait pour le sujet ténébreux de l’évolution. Chaque partie est complète en soi, mais toutes doivent être lues pour pouvoir saisir pleinement l’étendue et la complexité du design de l’univers. Préparez-vous à apprendre des choses que vous n’avez sans doute jamais comprises ou lues auparavant.

Voir clair - L'histoire de l'oeil humain

Vos yeux comptent pour 80% de toute l’information qui atteint votre cerveau. C’est ce qui en fait de loin l’organe sensoriel le plus important. Essayez d’imaginer vivre sans la vision.

Vous seriez étonnés de voir comment la science a soigneusement étudié l’œil humain, des fonctions de l’œil interne jusqu’à la façon dont la lumière forme une image dans votre cerveau.

Toutefois, bien que le fonctionnement de l’œil soit parfaitement connu, son origine semble enveloppée de mystère. Comme nous l’avons vu, ce qui n’est réellement qu’une théorie de l’évolution est considéré comme un fait. On l’enseigne aux enfants à l’école et la majorité des scientifiques souscrivent à ses principes. Alors, voyons si l’évolution peut nous donner une indication de l’origine de l’oeil. Si oui, alors il doit y avoir des créatures à partir desquelles celui-ci a évolué.

L’histoire de cet organe va vous inspirer et, excusez le jeu de mots, vous ouvrir les yeux ! L’absence de preuves "évolutives" révèle la véritable origine de l’œil et de la création dont il a fait l’objet.

Comment fonctionne-t-il ?

Avant d’examiner l’œil à la lumière de l’évolution, nous devons d’abord comprendre comment il fonctionne et quels systèmes permettent aux photons de devenir une image. Peut-être vous demandez-vous ce qu’est un photon ?

L’univers entier est fait de particules minuscules, microscopiques et même beaucoup plus petites. La combinaison de ces particules est ce qui constitue la matière - l’univers dans lequel nous vivons. Une de ces "particules" de base est le photon. Ces derniers viennent des étoiles (le Soleil) et ils sont la raison pour laquelle nous pouvons percevoir la lumière. Sans photon, pas de lumière !

Vous êtes constamment bombardé par ces particules. La façon dont les objets reflètent la lumière détermine comment nous en percevons les couleurs, les textures et leurs surfaces. Tout ce que nous voyons dépend de la façon dont les substances absorbent ou reflètent les photons.

À titre d’exemple, regardons deux extrêmes : (1) un miroir et (2) une surface noire. Si vous éclairez un miroir, la lumière sera réfléchie. Par contre si vous éclairez une surface noire, très peu de lumière sera réfléchie. La façon dont réagit une surface à la lumière détermine sa couleur. Bien que cela constitue une explication très élémentaire sur la façon dont réagissent les photons pour produire des différences dans ce que nous voyons, cela suffit pour expliquer le rôle que jouent les yeux dans ce processus.

Donc, lorsque la lumière est réfléchie par un objet elle est modifiée puis elle pénètre dans votre œil. Imaginez les photons comme autant de granules se propageant en ligne droite. Cela devrait vous aider à visualiser leur route dans votre œil et vers votre cerveau.

Les détails complexes

À l’intérieur de l’oeil

L’illustration "l’intérieur de l’œil" n’est qu’un aperçu de l’œil. Nous n’avons pas encore parlé de la façon dont le cerveau interagit avec l’œil, ou de toute autre mesure corrective que l’œil applique lorsqu’il détecte un problème. Toutefois, avant d’aborder ce sujet, voici la représentation détaillée de ce qui se passe réellement quand un "granule" entre en contact avec votre rétine.

Ceci peut vous paraître très détaillé et complexe, mais c’est justement la raison pour laquelle l’œil est un miraculeux chef-d’œuvre.

Lorsque la lumière frappe la rétine, un photon réagit avec une molécule appelée 11-cis-retinal qui en quelques picosecondes se transforme en transrétinal. Ce changement de forme [11-cis à trans] entraîne un changement de forme de la protéine appelée rhodopsine à laquelle la molécule est solidement attachée. Cette métamorphose change son comportement, la faisant adhérer à une autre protéine appelée transducine. Avant d’entrer en contact avec la rhodopsine, la transducine était liée à une autre petite molécule appelée GDP. Cette dernière est remplacée par la GTP (molécule proche de GDP mais qui agit différemment) au moment où la transducine réagit avec la rhodopsine activée.

Les bâtonnets et les cônes

Dans la majeure partie de la rétine, les cônes et les bâtonnets sont mélangés. Par contre, il ya une zone qui contient seulement de cônes, la macula (ou tache jaune). Cette zone permet une vision avec une grande résolution optique. Peut-être avez-vous déjà entendu parler de la dégénérescence maculaire. La dégénerescence de cette zone est responsable de cette maladie.

Ce complexe s’attache alors à une protéine appelée phosphodiestérase qui est localisée dans la partie intérieure de la membrane cellulaire. Lorsque cette molécule s’attache à la rhodopsine activée, elle a la capacité de couper une autre molécule appelée cGMP (apparentée à la GDP et à la GTP). Au tout début, il y a beaucoup de cGMP dans la cellule, mais la phosphodiestérase diminue sa concentration, un peu comme si on enlevait le bouchon du bain pour baisser le niveau de l’eau.

Une autre protéine membranaire qui se combine avec le cGMP, est appelée "canal ionique". Ce canal permet de régulariser le nombre d’ions de sodium dans la cellule. Normalement, ce canal à sodium permet au sodium d’entrer dans la cellule alors qu’une autre protéine permet de le pomper à l’extérieur. L’action conjuguée du canal et de la pompe permet de maintenir le niveau des ions sodium à l’intérieur d’un mince écart. Lorsque la quantité de cGMP est réduite suite à l’action de la phosphodiestérase, le canal ionique se ferme pour que la concentration cellulaire d’ions sodium positifs soit réduite. Cela entraîne un déséquilibre des charges électriques en l’intérieur et l’extérieur de la membrane cellulaire ce qui produit un courant électrique qui est ensuite transmis le long du nerf optique vers le cerveau. Le résultat final, une fois interprété par le cerveau, s’appelle la vision. ("Evidence for Intelligent Design from Biochemistry" Michael Behe).

Il n’est pas nécessaire de comprendre l’ensemble des phénomènes qui entraînent ces impulsions vers votre cerveau, mais il est nécessaire de reconnaître l’extrême complexité requise pour que le processus se produise. Peut-être réalisez-vous à quel point le concept de l’évolution est si ridicule lorsqu’on l’applique à l’œil.

La machine a besoin d’un logiciel

Les éléments de votre œil - le cristallin, l’iris, la rétine, etc. - sont responsables de l’envoi de signaux électriques vers votre cerveau. Mais comment ce dernier sait-il quoi faire avec ces signaux lorsqu’il les reçoit ?

L’œil du trilobite : L’évolution à l’envers ?

Le cœur de la théorie de l’évolution est que tous les animaux ont évolué à partir d’autres créatures plus simples. Tout a commencé dans une flaque de matière vivante qui a évolué en quelque chose de plus complexe, puis en créatures diverses et qui sont ensuite devenues des animaux.

Ce concept est basé sur la supposition qu’avec le temps, tous les organismes s’améliorent par la sélection naturelle - la survie des mieux adaptés. Bien que ce concept soit parsemé de trous, supposons, pour un moment, qu’il est vrai.

Vous vous attendriez à ce que le registre fossile montre avec le temps, des créatures qui sont devenues de plus en plus complexes. Cela serait encore plus vrai en ce qui concerne les systèmes de vision. Parce que, chez les créatures mêmes les plus simples, la vision est très complexe, on s’attendrait à ce que cela prenne des millions d’années avant qu’un système visuel complexe apparaisse.

Toute chose complexe qui apparaîtrait trop rapidement, ou avant un autre organisme précurseur, serait un objet d’embarras pour les adeptes de l’évolution.

Et le trilobite fit son entrée. Ces invertébrés maintenant disparus existaient en grand nombre dans les océans du monde et remontent à l’ère précambrienne - soit à environ 400–500 millions d’années. Ce qui est remarquable chez ces animaux est qu’ils possédaient un système de vision remarquablement complexe.

Leurs yeux étaient si complexes qu’il n’y a aucun invertébré – et même un grand nombre de vertébrés aujourd’hui qui possèdent quelque chose de comparable. De plus, ces créatures semblent avoir fait leur apparition soudainement sans aucun fossile préalable apparenté.

Le professeur Richard Fortey, un chercheur au Musée d’histoire naturelle de Londres déclare : "Nous savons que les premiers trilobites possédaient déjà un système visuel bien développé. En effet, les grands yeux trouvés dans le genre Fallotaspis du Maroc, prouvent que cette vision sophistiquée remonte à au moins 540 millions d’années, à l’ère cambrienne".

Il poursuit, en parlant des trilobites du genre Phacops, "une structure manifestement très sophistiquée (encore plus que l’œil à lentille hexagonale [habituel] du trilobite), l’œil à cristal du Phacops est l’équivalent d’un coupé sport à l’âge des anciens tacots" ("Crystal Eyes" Natural History 109, nº 8).

Avec de telles déclarations de la part d’un paléobiologiste de renommée mondiale, on assène un véritable coup de massue à la théorie de l’évolution.

Imaginez-vous un ordinateur avec toutes ses composantes dont la plupart sont trop compliquées pour que la majorité des gens puissent en comprendre le fonctionnement. Quelle qu’en soit la complexité, sans logiciel, il ne peut rien faire. Votre ordinateur ne se mettra même pas sous tension sans un logiciel même élémentaire lui disant quoi faire.

Il en est de même avec l’œil. Tous les mouvements de celui-ci sont dirigés par le cerveau. C’est lui qui dit à l’œil de se fixer sur quelque chose, de faire la mise au point, d’ouvrir ou de fermer l’iris juste assez pour laisser la bonne quantité de lumière atteindre la rétine.

Maintenant que vous comprenez la base de son fonctionnement, faites cette simple expérience afin de constater les nombreuses interactions entre votre cerveau et votre l’œil. Alors que vous lisez ces mots, regardez quelque chose au loin

En faisant cela, réalisez que vous avez dû remuer les muscles de votre œil, changer l’iris et ajuster le cristallin afin de pouvoir mettre au point l’image distante.

Cela nous amène au dernier point nécessaire à la compréhension du fonctionnement de l’œil. Comment le cerveau sait-il comment transformer plus de cent millions d’impulsions en quelque chose que nous pouvons voir ? Si celui-ci ne savait pas comment traiter ces photons et équilibrer ce que chaque œil peut voir, il n’existerait pas d’image cohérente, aucune vision.

Il y a également un autre processus étonnant qui a lieu. Dans tout système à lentille unique (comme notre œil), l’image qui est reçue est inversée. Alors, non seulement votre cerveau rassemble-t-il tous ces millions de photons, mais il sait aussi qu’il faut inverser l’image!

Tout comme c’est le cas avec les logiciels d’ordinateurs, le cerveau doit être programmé afin de savoir comment interpréter les données. Il doit savoir quelles couleurs sont représentées par tel type d’onde et comment l’ensemble doit s’ajuster. En y pensant bien, ce que vous voyez avec vos yeux n’est en fait qu’une image que votre esprit a créée. Dis d’une autre façon, c’est une version vive de ce que vous pouvez visualiser les yeux fermés.

Le cerveau humain est vraiment l’organe le plus extraordinaire qui n’ait jamais été créé.

À moins que ce "logiciel" ne soit apparu au même moment que vos yeux, ces derniers sont absolument inutiles.

Ici encore, bien qu’il semble impossible que l’oeil ait pu évoluer, quelles sont les chances pour les deux, le logiciel et la machine soient apparus au même moment?

Comprenez-vous pourquoi les évolutionnistes évitent les discussions au sujet de l’œil ?

Simplement impossible

Même par cet article, vous commencez à voir l’extraordinaire complexité de l’œil humain. Réfléchissez un moment à la complexité requise pour former le premier œil. Ou demandez-vous, qu’est-ce qui a permis aux cellules de devenir sensibles à la lumière ? Ou, pourquoi les trilobites et leurs yeux ont disparu ?.

On ne parle jamais de ces sujets

Et il y a encore plus étonnant. On n’a jamais essayé d’expliquer le processus par lequel un œil a pu évoluer à partir d’une forme plus simple.

Mais, est-ce si étonnant ? Lorsqu’on ne peut expliquer le processus par l’évolution, il ne reste qu’une seule autre option, cela a été conçu! Et il s’agit là d’une option que la plupart des scientifiques refuseraient d’admettre.

Le roi David a déclaré, "Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse" (Ps 139.14). L’œil humain est certainement un exemple de chose merveilleuse.

Étant donnée la complexité qu’on retrouve dans l’oeil humain - un seul organe d’une seule créature, vous pouvez comprendre que Dieu dise, "L’insensé dit en son coeur : Il n’y a point de Dieu !" (Ps 14:1).

Dieu sait que des êtres physiques ont besoin de preuves physiques. Nous avons besoin de voir des preuves de l’existence de notre Créateur.

"En effet, depuis que Dieu a créé le monde, ses qualités invisibles, c’est-à-dire sa puissance et sa nature divine, se voient dans les œuvres qu’Il a faites" (Rom 10.20 – français courant).

Il s’agit seulement d’une autre preuve qui indique la véritable origine de l’œil et de tout l’univers : Le Dieu de la Bible ! Les preuves ont toujours existé, pour ceux qui veulent vraiment voir !


                                                                                 

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