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L’Univers
Six exigences nécessaires à la vie
Les présomptions des évolutionnistes qui veulent qu’il y ait eu une création sans un Créateur doivent être contestées. Les seules probabilités mathématiques contredisent l’apparition aléatoire de la matière. Le fait qu’il existe un univers qui renferme une vie biologique élimine toute possibilité de voir apparaître par chance ces innombrables équilibres complexes.
Malgré cela, l’évolution préfère ignorer les probabilités écrasantes à l’encontre de l’existence d’une création due au hasard.
Cet article se concentrera seulement sur six des nombreuses, mais très spécifiques conditions nécessaires pour que la matière apparaisse sous une forme favorable au soutien de la vie. Une fois dépassé le stade rudimentaire de l’existence de la matière, il demeure de nombreux obstacles qui doivent être pris en compte.
Cet article ne s’attaquera donc pas à des facteurs comme les orbites lunaire et terrestre, l’inclinaison précise de la Terre, les questions de température, de pression, de composition de l’atmosphère et de sa filtration des radiations, du cycle continu de l’eau et de tous les autres facteurs requis pour que la vie biologique se développe.
Les six exigences suivantes sont généralement exprimées en termes très techniques. Bien que nous ayons fait des efforts pour présenter l’information d’une manière simple, les concepts peuvent tout de même être compliqués. Lorsque nous utilisons un terme technique, c’est parce qu’aucun substitut n’a pu être utilisé sans en compromettre l’explication. Voici les 3 premières exigences.
Exigence numéro 1 :
Rapport des masses du neutron et du proton.
Le soleil est principalement composé d’hydrogène et d’hélium. Au cœur de celui-ci, une réaction nucléaire permet à l’hydrogène d’être transformé en hélium et de dégager de l’énergie. Lors de ce processus, deux protons entrent en collision et un des deux se transforme en neutron. Les deux se lient et forment une nouvelle particule appelée un deutéron, un proton et un neutron.
Le changement d’un proton en neutron est possible parce que les deux particules ont une masse pratiquement semblable. C’est la particule de masse plus grande qui se transformera généralement en une de masse plus petite en laissant aller une partie de celle-ci lors de la collision. La masse du neutron est environ 1/1000 de fois supérieure à celle du proton - pratiquement identique. La formation de deutérons serait impossible au cœur du Soleil si la masse du neutron différait de celle du proton de façon importante. En résumé, les deutérons ne pourraient se former à moins que la masse de l’une et l’autre particule ne soient semblables à 0,1 % près.
Les étoiles sont capables de produire de l’énergie grâce à la formation de deutérons. Sans ce processus critique, aucune étoile ne pourrait produire d’énergie de manière suffisamment continue pour soutenir la vie sur quelque planète que ce soit en orbite autour d’elle. Les deutérons sont vitaux pour maintenir la réaction thermonucléaire du Soleil, ce qui procure l’énergie nécessaire au soutien de la vie sur la terre.
La vie d’un neutron hors du noyau est d’environ 15 minutes puis il se désintègre en un proton et en un électron. Si un neutron ne représentait que 0,998 de sa taille actuelle, les atomes n’existeraient simplement pas! Dans un tel cas, les protons libres deviendraient des neutrons et, puisque le noyau de l’hydrogène est un proton libre, l’hydrogène n’existerait pas.
Donc, même le plus petit changement des masses relatives des neutrons et des protons éliminerait l’hydrogène, l’élément le plus abondant de l’univers. Réfléchissez, sans l’hydrogène, l’eau (H2O) — le solvant nécessaire à toute vie biologique - n’existerait pas. En résumé, si ces masses déviaient seulement d’un pourcentage de 0,001, la vie ne pourrait exister !
Est-il logique qu’une telle précision mathématique puisse évoluer sur une longue période de temps? Ou encore qu’elle apparaisse spontanément sans aucune forme de planification ?
Réfléchissez à combien ces faibles possibilités minent les hypothèses que les évolutionnistes prennent pour acquises.
Exigence numéro 2 :
Charge du proton = charge de l’électron.
Les scientifiques ont été capables de mesurer et de comparer la charge électrique relative du proton et de l’électron et ont établi que celles-ci ne diffèrent que par 1 partie sur 1,000,000,000,000,000 (un million de milliards). En conséquence, étant donné que les charges de l’un et l’autre sont de même magnitude, les atomes ont tendance à maintenir une charge neutre.
Toutefois, si une de ces particules chargées ne différait que 1 milliardième, l’atome ne serait plus électriquement neutre. Si la charge du proton était plus grande, les atomes seraient électriquement positifs. Si c’était la charge de l’électron qui était plus grande alors les atomes deviendraient électriquement négatifs. Si cela était le cas, dans un sens ou l’autre, alors, les charges semblables se repoussant il y aurait répulsion entre les atomes des différents éléments et en conséquence la matière solide ne pourrait exister!
Maintenir la charge électrique à l’intérieur de cette fine marge de tolérance est quelque chose de très complexe. Quelle est la probabilité que celles de ces particules soient pratiquement identiques si l’univers est le résultat du hasard et du chaos, sans l’intervention d’une intelligence ?
Exigence numéro 3 :
La force nucléaire forte.
La force qui retient ensemble les particules composant le noyau atomique s’appelle la force nucléaire forte. Si cette dernière n’était que 3% plus forte, alors tout l’hydrogène de l’univers aurait depuis longtemps été transformé en hélium! Une telle augmentation de la force aurait amené la formation d’un noyau d’hélium auquel il manque un neutron (diproton). Puisque la force nucléaire forte ne l’est pas suffisamment pour provoquer une telle réaction, nous avons donc un environnement possédant une abondance d’hydrogène, substance absolument nécessaire à la vie. C’est ce qui nous donne l’eau et l’énergie du Soleil. Les étoiles qui "carburent" exclusivement à l’hélium auraient une vie relativement courte et pourraient même exploser pendant le processus de formation.
Si cette force était de plus puissante de 5%, il y aurait formation de diprotons dans le coeur du Soleil, rendant ainsi les réactions thermonucléaires des millions de fois plus efficaces. Le résultat serait l’utilisation accélérée du carburant et une durée de vie plus courte pour l’étoile.
Supposons maintenant que cette force soit réduite à un centième de son niveau normal, que se passerait-il? Les protons du noyau se repousseraient. Il ne pourrait exister d’autres éléments à part l’hydrogène qui est composé qu’un d’un seul proton.
Supposons maintenant que la force nucléaire forte était réduite d’un tiers seulement. Dans un tel cas, il pourrait exister plusieurs éléments, mais tous ceux-ci, incluant le carbone et l’oxygène, seraient instables et auraient une vie relativement courte. Si les planètes existaient dans de telles conditions, elles seraient extrêmement radioactives à cause de la désintégration continue des éléments instables.
Si la force nucléaire forte était réduite de seulement 5%, alors les deutérons ne pourraient exister. Rappelez-vous que ces deutérons sont essentiels aux réactions nucléaires soutenues dans le Soleil. Cette force, tout comme les autres exigences examinées jusqu’à maintenant, doit exister à l’intérieur d’une marge relativement mince pour qu’il existe un univers capable de soutenir la vie.
Je le demande encore. Quelle est la probabilité que l’univers soit venu à l’existence par pur hasard ?
Arrêtez-vous et songez à toute la planification créatrice qui a dû précéder l’existence de la matière puisqu’il est impossible que le hasard produise la combinaison exacte de ce nombre infini de possibilités.
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